If the World Ends

J'ai comme un horrible trou béant dans la poitrine... Je sais que je ne veux pas être dépendante ou quoi, mais c'est tout-de-même horrible. Je sais qu'il sort avec cette pétasse, mais je ne peux m'empécher. Je sais que c'est le plus grand salaud qu'on puisse imaginer, mais il est beau. Je ne sais plus rien. J'ai peur de ne plus le revoir, avec ses Wayfarrer, son sourire, son polo rouge et son trou à l'entrejambe... Je ne peux pas m'empêcher c'est ainsi. Est-ce-que ça DOIT être si dur, est-ce-que je doit me sentir si mal. Je n'arrive pas à penser du mal de lui, je n'arrive pas à l'oublier. et en même temps j'ai ce sentiment que je n'ai pas le droit d'être aussi obsédée par quelqun que je ne connaitrais jamais vraiment. j'ai l'impression que de pleurer sur quelqu'un sans qu'il n'en ait la moindre idée, c'est d'un pathétique affolant. La différence c'est qu'il sait et qu'il se délecte de me regarder de loin, comme un médecin regarderait un lapin après lui avoir administré une dose mortelle...métaphore débile il faut l'avouer. Je deviens passablement sirupeuse quand je suis triste. Je ne tient pas en place, je dois faire quelque chose continuellement et pourtant je ne peus que rester affalée sur mon canapée. je me dégoute, mais en même temps je ne me considère pas comme dégoutante. Je HAIS être une collégienne amoureuse d'un lycéen.

Comments

[cowboy]

;)

[drunkenbastard]

dure dure la vie.

[cowboy]

souffre encore un peu... après on verra :p

[drunkenbastard]

bon j'attends de voir alors...

[cowboy]

euh... je prefere encore que tu souffres!
comme la morale de eternal sunshine (of spotless mind) le dit : ça fait mal mais ça vaut la peine de souffrir un peu parce qu'il y a des bons moments a la clé.